2009-10-31

Black Sunday aka The Mask of the Devil de Mario Bava – Italian Horror Blog-A-Thon

TSPDT Greatest Films #726 Black Sunday (Mario Bava, 1960)


Voici ma troisième et dernière intervention pour le Italian Horror Blog-A-Thon du Blogue Hugo Stiglitz Makes Movies de mon compatriote Kevin J. Olson. L’un des plus grands films d’épouvante de l’histoire ! Disponible sur YouTube en passant, le Black Sunday de Mario Bava réalisé en 1960 vous sera présenté dans ce tour du chapeau au Blog-A-Thon. Débutant comme nul autre film n’a su imprégner la face de l’horreur à son auditoire, Black Sunday nous présente une sorcière et son frère sorcier qui sont condamnés pour sorcellerie. On leur met un masque représentant le visage du diable orné à l’intérieur de clous qui entrent dans la peau di visage des victimes à l’aide d’un bon coup de masse sur le masque… Cependant, la sorcière jette un sort sur ses tortionnaires et elle leur jure qu’elle se vengera.

Là commence le générique d’ouverture, l’histoire se situe deux cent ans après cet épisode lorsque deux professeurs passent en calèche près de l’endroit où la sorcière est enterrée. L’un des deux professeurs étant trop curieux retire le masque du diable qui recouvrait le visage de la sorcière et découvre que celui-ci n’a pas été ravagé par la putréfaction et le temps. C’est à cet instant que la malédiction de la sorcière commence son cours.

Mélangeant le récit de sorcière et l’histoire classique du vampire qui se réveille et fait plusieurs victimes, ce film présente une histoire crédible des plus intéressantes. Le travail de réalisation de Bava est remarquable et il peut facilement se frotter aux films de grande qualité issus du studio britannique Hammer Films dont l’excellent Horror of Dracula de Terence Fisher sorti la même année.

Les interprètes sont très bons et mention plus qu’honorable à Barbara Steele qui joue un double rôle soit celui de la sorcière et celui de la jeune victime innocente. Elle réussie parfaitement à instaurer le mal dans son regard ainsi que l’innocence pour son double rôle.

Des trois films italiens observés pour ce Blog-A-Thon c’est le film le plus classique du genre film d’épouvante. C’est-à-dire, on est dans les thèmes de la sorcellerie et du vampirisme en même temps et sans être forcé du tout !

Here’s my third and last post for the Italian Horror Blog-A-Thon at Kevin J. Olson’s Hugo Stiglitz Makes Movies. It’s about one of the greatest horror film ever! -By the way, available through the almighty YouTube - Will be observed here, Mario Bava’s Black Sunday of 1960. With a beginning like no other film, Bava knows how to create an atmosphere of pure horror. As an introduction, we see a witch and her sorcerer brother condemned for sorcery. As their punishment, the inquisitors nail the mask of the demon on their faces till their death! Meanwhile, the witch throws a curse of vengeance for herself.


Then the beginning credits appear, the story is set two hundred years after the prologue. Two professors stop by the chapel where the witch is buried because their coach got stuck. They discover her coffin and they pull off the mask of the demon to find her face intact without any sign of time or putrefaction. This unclenches the curse of the witch.

With the story of the witch and the classic vampire story, Bava presents a great blend of the two genres. The production is even better than some Hollywoodian films of the time and the direction is inspired and strong. This film can be compared for its quality and with no shame to Terence Fisher’s Horror of Dracula from the Hammer Films studios.

The actors are amazing and especially Barbara Steele who plays two characters; the witch, where pure evil can be seen in her eyes, and the young innocent victim.

Of the three films I’ve reviewed for this Blog-A-Thon, this one’s the most classic in the horror genre. The film is inspired by the themes of sorcery and vampirism without any gore effects or lakes of blood… But, it’s a must see for any horror film fan!

2009-10-29

Merci YouTube!!! Part VII

Black Sunday aka La maschera del demonio aka Mask of the Demon de Mario Bava (1960)

Dans cette série ayant pour but de filtrer les millions de vidéos et films disponibles sur le géant YouTube je vous présente aujourd'hui un très grand film d'horreur italien; Black Sunday de Mario Bava! Un véritable film culte des fanatiques du film d'épouvante qui se veut encore plus efficace que bien des productions hollywoodiennes.
Une critique de ce film suivra cette présentation dans le cadre du Italian Horror Blog-A-Thon du Blogue Hugo Stiglitz Makes Movies.

With this presentation of films available on YouTube I present to you today one of the greatest italian horror movies; Black Sunday by Mario Bava made in 1960. A great cult film for the horror movie buffs. Black Sunday is heavier than the majority of the hollywoodian productions of horror films!
I'll soon post a review of this film for the Italian Horror Blog-A-Thon at Hugo Stiglitz Makes Movies.



Merci YouTube!!! Part VI

Un grand film de l'un des meilleurs cinéastes à avoir foulé le sol d'Hollywood, Trouble in Paradise de Ernst Lubitsch de 1932.


A Great film from one of the Greatest foreign directors that has make his way and his mark into the Hollywood brainwashing system; Ernst Lubitsch with his sublime Trouble in Paradise of 1932.

2009-10-27

Hitchcock de François Truffaut - Lectures suggérées


Pour toute personne intéressée par le Cinéma je vous présente ici une lecture incontournable pour votre culture générale et qui permet à tous de saisir l'histoire du Cinéma ainsi que l'approche personnelle qu'avait Alfred Hitchcock vis-à-vis du média et de ses propres films. Écrit par François Truffaut l'un des visages les plus important de la Nouvelle Vague française cinéaste inspiré et critique des Cahiers du Cinéma ayant des connaissances encyclopédiques.

Dans le livre
Hitchcock on nous présente une série d'entrevues entre ces deux grands du Cinéma. Réalisées sur plusieurs années, ces entrevues sont menées par Truffaut qui laisse une grande place au maître du suspense à s'exprimer sur les thèmes, les forces et aussi les faiblesses de ses films. Certains détracteurs de ce livre comme Ingmar Bergman, ont dit que la personnalité prétentieuse de Hitchcock prend toute la place et qu'on n'en voit pas l'analyse de ses travaux. Malgré les faiblesses du livre il reste tout de même incontournable!

François Truffaut, avec la collaboration de Helen G. Scott, Hitchcock, rev. ed., Simon & Schuster, New York, 1984.

2009-10-25

FILMS Vs DIVERTISSEMENTS

Tiré du Film Snob's Dictionary

C'est un DIVERTISSEMENT s'il fait la couverture du magazine
Premiere.
C'est un FILM s'il fait la couverture du magazine
Cahiers du Cinéma.

C'est un DIVERTISSEMENT s'il est en noir et blanc parce qu'il est vieux.

C'est un FILM s'il est en noir et blanc parce qu'il est de Jim Jarmusch (Jarmuschy).


C'est un DIVERTISSEMENT si l'on peut voir des seins ou des fesses.

C'est un FILM si on y voit un ou des pénis.


Lorsque Billy Crystal a l'inspiration pour réaliser; c'est un DIVERTISSEMENT.

Lorsque Clint Eastwood a l'inspiration pour réaliser; c'est un FILM.


C'est un DIVERTISSEMENT si le générique est bourré de scènes amusantes pour qu'on y reste tout le long.

C'est un FILM si le générique est ennuyant, normal mais que tout le mode y reste pour les voir jusqu'à la fin.


Bruce Willis issu du DIVERTISSEMENT a accumulé des points en tant qu'acteur de FILM en jouant dans
Pulp Fiction.
Steve Buscemi issu du FILM gagna de la crédibilité de DIVERTISSEMENT dans
Armageddon.

C'est un DIVERTISSEMENT s'il y a des personnes noires qui y jouent à moins que c'est Forest Whitaker ou Jeffrey Wright.
C'est un FILM s'il y a des asiatiques qui y jouent à moins que c'est Jackie Chan ou Jet Li.

Un roman de John Grisham devient un DIVERTISSEMENT merdique.
Un roman de Gabriel Garcia Marquez devient un FILM merdique.

C'est un DIVERTISSEMENT si le personnage principal masculin passe au travers d'une fenêtre.
C'est un FILM si le personnage principal a des envies sexuelles pour les jeunes garçons, sa sœur ou bien sa mère.

Les frères Coens sont des fanatiques de DIVERTISSEMENT qui font des FILMS.

C'est un DIVERTISSEMENT s'il est précédé par la bande annonce du prochain Jerry Bruckheimer.
C'est un FILM s'il est précédé par une annonce du directeur de la programmation de la salle.

C'est un FILM s'il provient du sous-continent indien même s'ils considèrent ce film comme un DIVERTISSEMENT.

Tom Waits ne sera jamais dans un DIVERTISSEMENT.
Tom Hanks ne sera jamais dans un FILM.

2009-10-21

Zombi 2 de Lucio Fulci - Italian Horror Blog-A-Thon


Zombie 2: The Dead Are Among Us (1979)
Se voulant une suite ou selon moi un hommage au Night of the Living Dead et au Dawn of the Dead de George A. Romero. Zombi 2 de Lucio Fulci se veut un film beaucoup plus faible et digne d'un moindre intérêt que ses prédécesseurs. Surtout reconnu pour ses effets spéciaux d'hémoglobine, Fulci livre un récit servant à la mise en scène de situations se prêtant pour l'utilisation de faux sang et de faux membres. Il va jusqu'à confronter un requin à un zombie qui veulent tous les deux s'approprier une proie de choix; soit une femme se baignant nue...
Cependant, la qualité de ses effets spéciaux est très vétuste même pour l'époque et manque d'intérêt pour le passionné d'effets gore réussis. Pour l'amateur du film de zombie il y a là quelque chose à se mettre sous la dent mais il devrait aussi se tourner vers des classiques plus intéressants comme les films de George A Romero et du compatriote italien Dario Argento.

2009-10-19

Les Vivants


Dernière partie de mes 25 réalisateurs ayant eu le plus d'influence. Les Vivants sont les hommes qui ont marqué le Cinéma dans les décennies précédentes et qui continuent d'œuvrer à la perfection de leur Art! C'est probablement la section la plus incomplète puisque tant de cinéastes ont le talent à la filmographie pour se retrouver ici... Cependant, ceux qui auront fait la liste auront marqué la personne qui écrit ces lignes.
Les Vivants sont:
Jean-Luc Godard (8e)

Martin Scorsese (17e)

Francis Ford Coppola (18e)

Woody Allen (19e)
Werner Herzog (23e)

Terrence Malick (24e)


Les Vivants très honorables sont:
William Friedkin

Clint Eastwood

Abbas Kiarostami

Andrezj Wajda

Roman Polanski

Mike Nichols

Bernardo Bertolucci

David Lynch

David Cronenberg

George A. Romero

Sydney Lumet

Ridley Scott

Merci YouTube!!! Part IV

Cette semaine le film que je vous présente est en lien avec le film de la Partie II. Il s'agit d'un film soviétique que l'on doit voir comme un film de propagande et qui a des grandes qualités en tant que film historique et pour son langage cinématographique. Il traite surtout des valeurs de base du communisme et de ses bienfaits pour l'homme et la terre.
Son titre est Zemlya (Aleksandr Dovzhenko, 1930) ce qui en français désigne la Terre; autant la terre nourricière que la terre des Hommes.

Bonne écoute kamarades!

http://www.youtube.com/view_play_list?p=05FFF8F41FB8B496&search_query=Zemlya+Dovzhenko

Suspiria de Dario Argento – Italian Horror Blog-A-Thon


Ma première intervention pour le Blog-A-Thon sur le cinéma d’horreur italien portera sur le film qui représente probablement le mieux cette sous catégorie du film d’épouvante.

Tourné en 1977 et largement inspiré par le travail d’Alfred Hitchcock, Suspiria est le film le plus populaire et le plus apprécié de Dario Argento. Ce dernier étant reconnu pour ces nombreux films d’horreurs de qualité variable. Le maître de l’horreur italien a eu tendance à se répéter dans sa carrière tout en faisant preuve d’une grande maîtrise de la construction de l’image. À part la réalisation est il est coauteur du scénario du chef-d’œuvre de Sergio Leone avec Bernardo Bertolucci. De plus, fait anodin c’est le père de la sous-estimée actrice Asia Argento.

Suspiria c’est le récit de Suzy Banyon, une jeune américaine, qui vient se joindre à une école européenne prestigieuse de ballet. Une série d’incident bizarres et de meurtres vont mener Suzy à y découvrir repaire d’une sorcière qui était à l’origine des étranges agissements dans l’école. Bien qu’assez simpliste comme histoire, (c’est plutôt rare que l’on a une histoire très fignolée dans le film d’épouvante) le récit coule assez bien malgré certaines scènes forcées pour le bien de l’épouvante.

La force d’Argento est de présenter l’horreur de manière stylisée artistiquement. Bien que plusieurs scènes soient d’une grande cruauté il est difficile de détourner le regard car on pourrait y manquer les finesses de la mise en scène. La construction de chaque image pour chacun des meurtres a été pensée soigneusement et une excellente utilisation de la photographie est à souligner.

Du côté du récit, le thème de la jeune fille qui devient une femme et qui doit surpasser ses craintes vis-à-vis de l’inconnu et des nouvelles réalités de sa vie est abordé sans être le thème central autant que le The Exorcist de William Friedkin. Dans le cas de Suspiria, le second degré est rapidement laissé de côté pour que l’horreur prenne toute la place !

Bref, un incontournable de l’horreur et selon plusieurs le chef d’œuvre de Dario Argento!

2009-10-18

The Film Snob's Dictionary - Lectures suggérées

Comme le "surtitre" l'indique, cette lecture est un lexique essentiel pour la connaissance sur les films. Écrit par David Kamp et Lawrence Levi et publié en 2006, ce livre est tout en prétention assumée. Sans être encyclopédique il propose des titres et des films plus "underground" qui requièrent un certain intérêt pour le véritable cinéphile. Il explique en vulgarisant des termes comme le Dogme 95 et tous les types de "xploitations" par exemple. Cependant, il est rapidement parcouru et lance le cinéphile de grand appétit (lire ici votre auteur) vers des ouvrages plus complets et plus techniques.
Je me permettrai de vous citer les rubriques et définitions qui m'ont le plus intéressées.
On peut classer ce livre comme un bon livre à lire à la salle de bains, il ne demande pas une grande attention et on peut le feuilleter dans l'ordre qui nous plaît.

Les Xénos


La suite du fractionnement de mon décompte des 25 réalisateurs les plus influents regroupe les Xénos. Terme que j'utilise pour désigner les cinéastes d'origine étrangère d'un point de vue typiquement hollywoodien. Cette catégorie peut paraître stéréotypée mais je l'assume totalement puisque la majeure partie des films que j'ai vus sont nord-américains. Donc, l'influence de ces films est pour la plupart des cinéastes ayant œuvré dans ces eaux. La catégorie des Xénos regroupe les cinéastes non américains qui ont, avec leurs œuvres réussis à percer le marché américain et à y importer leur imaginaire et à y laisser une trace notable pour le public. Les choix cités ici sont trop courts à mon avis et la liste des mentions honorables contiendra probablement trop d'omissions...
Akira Kurosawa (7e)

Ingmar Bergman (11e)
Federico Fellini (13e)

Luis Bunuel (16e)
Michelangelo Antonioni (21e)

Robert Bresson (22e)

Andrei Tarkovsky (25e)


Mentions très honorables:

Yasujiro Ozu

Kenji Mizoguchi

Sergio Leone

François Truffaut

Vittorio De Sica

Roberto Rossellini

Satyajit Ray

Henri-Georges Clouzot

2009-10-14

Les Précurseurs


Les Précurseurs du Cinéma sont les pionniers qui ont façonné le langage filmique pour en tirer des récits cohérents et artistiques. Tant du côté de Griffith qui a littéralement mis en place les fondations du 7e Art que du côté de Eisenstein qui a démontré le découpage d'une scène et l'utilisation du montage. Ils ont tous travaillé dans le muet et malheureusement certains n'ont pas vécu assez longtemps pour faire du parlant et d'autres n'ont su se surpasser avec la venue du son.

Les Précurseurs sont:
F.W. Murnau (5e)
David Wark Griffith (9e)
Charles Chaplin (10e)
Sergei Eisenstein (20e)

Mentions plus qu'honorables à:
Cecil B. DeMille
Buster Keaton
Dziga Vertov
Louis Feuillade
Victor Sjostrom
Erich von Stroheim
Ernst Lubitsch
Robert Flaherty
Carl Th. Dreyer

Le Panthéon



Le Panthéon des cinéastes les plus influents de l'histoire du Cinéma est une suite à mon article sur les 25 plus grands selon mon décompte personnel. Ce que je définis en tant que Panthéon des réalisateurs sont les grands qui ont marqué l'histoire du Cinéma et qui ont amené à un niveau supérieur le langage cinématographique et, de plus, ont laissé un héritage incontestable à des générations de cinéphiles.

Les membres de ce Panthéon sont:

Alfred Hitchcock (1er)

Orson Welles (2e)
John Ford (3e)

Jean Renoir (4e)

Stanley Kubrick (6e)

Billy Wilder (12e)

John Huston (14e)

Howard Hawks (15e)


Cette liste est probablement discutable et certaines omissions et/ou modifications sont certainement à noter. Cependant, je n'ai pas encore vu de films de plusieurs Cinéastes de grande importance. Néanmoins, je désire ajouter quelques noms qui ont été exclus par faute de place et parce que je ne désirais pas monter une liste trop longue.
*Il n'y a pas un ordre particulier pour cette liste.

Michael Powell & Emeric Pressburger

David Lean

Nicholas Ray
Otto Preminger

Douglas Sirk

Frank Capra

Preston Sturges

2009-10-13

Mon Top 25 des réalisateurs les plus influents


1. Alfred Hitchcock
2. Orson Welles
3. John Ford
4. Jean Renoir
5. F.W. Murnau
6. Stanley Kubrick
7. Akira Kurosawa
8. Jean-Luc Godard
9. David Wark Griffith
10. Charles Chaplin
11. Ingmar Bergman
12. Billy Wilder
13. Federico Fellini
14. John Huston
15. Howard Hawks
16. Luis Bunuel
17. Martin Scorsese
18. Francis Ford Coppola
19. Woody Allen
20. Sergei Eisenstein
21. Michelangelo Antonioni
22. Robert Bresson
23. Werner Herzog
24. Terence Malick
25. Andrei Tarkovsky

Mon barème de sélection est d'observer comment chacun a pu influencer les générations de Cinéastes qui l'ont suivi.
Je présenterai ma sélection par blocs de Cinéastes dans les jours à venir comme suit:

Le Panthéon, soit les Cinéastes indétrônables et qui ont su se démarquer dans toutes les facettes de leur métier.
Les Précurseurs, Ceux qui ont modelé et fait de ce que cet art est aujourd'hui.
Les Xénos, les cinéastes étrangers ou hors Amérique.
Les Vivants, les grands toujours vivants qui travaillent toujours et qui inspirent les jeunes cinéastes de la nouvelle garde.
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